vendredi 29 avril 2011

Rondo (J-drama)



Rondo, drama japonais de 2006 : 11 épisodes de 40 min (dont un d'une heure trente) avec Choi Ji Woo (Stairway To Heaven), Takenouchi Yutaka <3 (je ne l'ai encore pas vu jouer ailleurs, il a pourtant une liste impressionnante de dramas à son actif), Shin Hyun Joon (Stairway To Heaven), Hayami Mokomichi (Zettai Kareshi)...

Le début de l'histoire (tiré de blabla-dramas) :






Kanayama Takumi est un policier infiltré dans le groupe mafieux "Shin-Ku". Son but :  faire tomber l'organisation et venger la mort de son père, assassiné 24 ans plus tôt en Corée du Sud.



Choi Yuna est une coréenne qui débarque au Japon. Accompagnée de sa jeune soeur Yuni, toutes les deux espèrent retrouver la trace de leur père mystérieusement disparu, mais elles ne parlent pas un mot de japonais. Les deux soeurs décident d'ouvrir un restaurant coréen mais attirent rapidement l'attention de la mafia locale...


Parallèlement, Takumi et Yuna font connaissance au détour d'une rue et peu à peu une relation se noue malgré la barrière de la langue...






Mon avis: <3 <3 <3

A deux reprises, je me suis arrêtée à l'épisode 6 du drama, il y a un an et hier. Il faut avouer que la coupure se fait nette entre les deux parties du drama, une "époque" se termine, une autre commence, plus rude peut-être.

Le drama a le gros avantage, comme la majorité des dramas japonais, d'être court : 11 épisodes de 40 minutes sauf le 1er qui dure 1H30, histoire de mettre en place le contexte. La "première partie" se partage de manière équilibrée entre action et romance et nous arrache même quelques sourires (ce qui m'a surprise, vu que je classais d'emblée le drama dans la catégorie "policier/drame") La seconde quant à elle m'a bien sûr accrochée mais parut de plus en plus invraisemblable : autant de révélations et retournements de situation en 5 petits épisodes, un peut court...
Cependant, ne vous méprenez pas : il s'agit d'un drama à la trame "classique" mais très bien réalisé, le soin apporté aux plans, prises de vue et à l'OST n'a rien à envier aux films d'action occidentaux. De l'action pour sûr, il y en a et les acteurs excellent dans leur rôle, à commencer par Takenouchi Yutaka,  et Shin Hyun Joon. Concernant ce dernier, j'ai adoré son rôle dans ce drama, surtout dans la première partie, j'ai eu mal au coeur de le revoir ensuite en "sacrifié"...:'(
L'actrice en tête d'affiche (Choi Ji Woo) m'a surprise en bien, même si j'avoue que ça m'a fait bizarre, j'ai vraiment l'habitude de la voir avec sa mine de chien battu depuis Stairway To Heaven; de ce fait, certains revirements de situations m'ont un peu plus déstabilisée et paru moins crédibles. Elle pourrait cependant sûrement jouer sans souci d'autres rôles plus complexes, voire opposés à ceux qu'elle a acceptés jusqu'à présent.

Le titre du drama "rondo" est aussi grandement exploité durant tout le drama, autant dans la narration de début et de fin que dans la manière de filmer, certains plans semblant avoir été pris avec un fisheye. 
Une "ronde", ou plutôt une succession d'évènements va réunir à nouveau les mêmes personnages à différents moments dans le temps, scellant ainsi leur destin. Le cercle, les courbes et distorsions sont omniprésents dans le drama, rien que par la mise en scène, qui cerne les personnages et met en valeur la photographie du drama.

















NB: En photographie, un fisheye (« œil de poisson », de l'anglais « fish eye ») ou objectif hypergone est un objectif spécial ayant une distance focale très courte et donc un angle de champ très grand, jusqu'à 180° dans la diagonale, voir dans toute l'image.






Contrairement aux objectifs classiques, il n'est pas corrigé contre la distorsion et donne des images déformées : toutes les lignes droites qui ne passent pas par le centre sont fortement courbées. On ne peut retrouver les angles qu'en projetant l'image sur un écran sphérique. (définition Wikipédia)







Le temps est aussi un élément sur lequel repose la mise en scène,  ne serait-ce que pour entretenir le suspense. 


Le générique est aussi très esthétique : la caméra semble s'amuser avec ses deux personnages favoris, dans une ronde sans fin en noir et blanc, dévoilant leur part d'ombre et exposant leurs démons au grand jour. 













Un reproche que l'on pourrait faire au drama : sa dimension presque "cinématographique". La deuxième partie du drama, par ses révélations et retournements de situation répétitifs (tout en laissant une trame classique), semble en faire trop, et la mise en scène aussi parfois. Tout est question d'appréciation personnelle ensuite. J'y ai été assez sensible, mais j'ai su l'apprécier également. Excès de zèle, ostentatoire, ou tout simplement réalisé avec de bons moyens ? (pour changer)







On retrouve également l'acteur de Zettai Kareshi entre autres, en tant que fils pourri du chef de la mafia, personnellement je trouve que ça lui va très bien ! La prestation de l'acteur incarnant le seul policier "protecteur" envers Takumi est aussi à remarquer. Enfin, j'ai bien aimé le petit protégé de Takumi, apparemment, l'acteur serait abonné aux rôles un peu "décalés". 
A noter que le rôle (et physique) de l'"undercover cop" n'est pas sans rappeler l'excellent "Donnie Brasco" avec Johnny Depp et Al Pacino.
Le pari réussi de ce drama est de réunir une romance crédible qui se mêle habilement au scénario et l'action à l'état pur, contrairement aux films policiers occidentaux classiques, dans lesquels ce côté passe souvent à la trappe.


J'ai failli oublier de dire un petit mot sur la consistance même du drama qui traite de manière habile les (parfois difficiles) relations entre nationalités différentes. Le drama se suit en effet moitié en japonais, moitié en coréen, les acteurs passent de l'un à l'autre avec une aisance déconcertante au bout d'un moment. S'agissant toutefois d'un drama japonais, les dialogues en coréen sont sous-titrés en japonais. La question de la perte d'identité et de nationalité est aussi sous-jacente et laisse entrapercevoir l'horreur d'une telle situation, d'être presque un "sans visage", un hors la loi, voire un paria. Les relations entre japonais et sud-coréens semblent aussi parfois tendus, du fait des guerres et de l'occupation japonaise passée; même si les nouvelles générations semblent avoir enterré la hache de guerre. La relation sentimentale part de cette "ouverture linguistique" et cela confère un charme particulier indéniable à l'histoire.


PS: Navrée pour cet article avec une mise en page déplorable, j'ai passé des heures à positionner les bonnes images mais Blogger n'en fait toujours qu'à sa tête et le rendu n'est pas du tout le même au brouillon et lors de la publication :'(

jeudi 28 avril 2011

Tag dramas...flashbacks

Suite au "taggage" de Lynda, je me prête au jeu =)

1/ Depuis quand regardes-tu des dramas ?
Depuis mi-juin 2008. Mes vacances d'été 2008 ont été très productives niveau drama, et toute l'année qui suivit jusque septembre 2009. C'est sur cette période que la majeure partie de mon blog repose d'ailleurs ^^ 

2/ Comment les as-tu découverts? 
Je me rappelle précisément du contexte: durant ma première année universitaire 2007-2008, j'avais suivi quantité de mangas dont certaines fins n'étaient pas encore sorties en version française. Impatiente comme je suis, j'ai cherché sur le net certains scans en anglais, notamment de Hanakimi - Parmi Eux. Chemin faisant, je suis tombée sur des forums parlant de "versions live", je pensais alors qu'il s'agissait d'une version animée. Voir des acteurs en chair et en os a été une grande surprise ^^ J'ai fait mon choix de version, le Japon m'étant alors plus familier que l'univers taïwanais, j'ai opté pour la version japonaise "pour voir". Je me rappelle encore mon excitation chaque soir en rentrant des cours (mes cours se finissaient alors le 30 juin) : je me connectais sur You Tube et dès les premières notes du générique, j'étais complètement coupée du monde. J'entrais dans un univers foldingue et totalement jubilatoire. Je croyais alors que tous les dramas étaient de ce type...

Au final, je n'ai jamais regardé la version taïwanaise de Hanakimi. Je parcourais à la place les blogs en quête d'un drama taïwanais qui me convaincrait davantage. J'ai hésité entre Devil Beside You et Mars. Laissant Mars de côté (ma connexion à Mysoju était aléatoire de là où j'étais), je me suis lancée au début de vacances dans DBY disponible sur Dailymotion. Le début me faisait rire et je n'en revenais pas moi-même de me mettre à des "soaps" de ce genre. 
Bref, regarder des choses légères tout en "s'instruisant" à une autre culture, je trouvais cela diablement commode !

Après DBY, ont suivi d'autres dramas taïwanais Why Why Love et Mars. Je me suis ensuite penchée le soir du 14 juillet (je m'en rappelle très bien, j'avais allumé mon ordinateur en rentrant du feu d'artifice :) ) sur Byakuyakou, drama japonais que je ne suis pas prête d'oublier...

Si aujourd'hui, les dramas coréens sont les principaux à mettre à mon actif, je les ai en fait commencé sur un tard (bon ok fin juillet de la même année...) : Witch Yoo Hee puis Full House,  les k-dramas "lacrymaux" sont venus bien après, j'ai regardé Autumn Tale en août, il faisait une chaleur à mourir...

3/ Quel a été ton premier drama?
Ce fut Hanikimi version japonaise et si c'était complètement déjanté, j'ai vraiment "kiffé" à l'époque. Lorsque j'entends les premières notes de Ikenai Taiyou d'Orange Range, je ne peux m'empêcher de sourire...

4/ Si tu ne devais garder qu'un drama, lequel ce serait et pourquoi ? 
olàlà, LA question à laquelle je suis incapable de répondre...Le fait est que je suis souvent très enthousiaste pour nombre de dramas, et avec le recul et un nbre plus conséquent de visionnages, la série perd de son charme...


Je vais quand même me décider, UN drama à garder, cela va certainement surprendre (il est assez vieux ^^), mais je choisis GTO (Great Teacher Onizuka). Les brèves raisons de mon choix (arbitraire):
- j'exclus les k-dramas, il y en a beaucoup trop, certains m'ont beaucoup plus, d'autres ne sont pas impérissables, impossible de départager.
- mes tw-dramas se résument à deux coups de coeur: Mars et Devil Beside You, impossible à départager également.
- il s'agit d'un des seuls dramas japonais que j'ai déjà revu plusieurs fois sans me lasser, j'adore les acteurs et le générique.
- dernière bonne raison : revenir à mes premiers coups de coeur asiatiques (les mangas) par un drama adapté d'un manga, c'est une bonne manière de fermer la boucle.



5/ Si tu devais nommer un drama " à éviter absolument", lequel ce serait et pourquoi ? 
Un drama vu en entier ou pas obligatoirement? 

Mmm des dramas pour lesquels j'ai tenu jusqu'au bout, je ne dirais pas qu'ils sont "infréquentables", il y en a des bons et des moins bons, c'est évident...
Par ex j'aurais vraiment voulu aimer The Snow Queen et j'ai essayé en vain de lui trouver un regain d'intérêt en cours de visionnage. Mais le fait est que le drama m'a terriblement déçue, en dépit de ses acteurs et de l'originalité que je croyais voir ressortir d'après l'histoire...

Il y a des dramas que je ne regarderai pas une deuxième fois non plus, tel Witch Yoo Hee...

Sinon il y a bien un drama "catastrophe" que j'ai stoppé avant la fin, j'ai nommé Marmalade Boy. Etant tiré d'un manga, j'ai pensé qu'il pouvait être sympathique mais en fait non. Beaucoup trop de niaiseries xD
Il y a enfin LE drama que j'ai tenté (en vain) d'aimer et de voir jusqu'au bout (il faudrait décerner un prix spécial pour ce drama,  j'ai essayé tellement de fois de le reprendre xD) : It Started With A Kiss. Tout le monde adore (ou presque) mais chez moi, ça ne passe pas, mais alors pas du tout. J'ai essayé pourtant, je le jure! Alors voilà, je l'ai désormais rangé tout au fond du placard, en espérant qu'il n'essaiera pas d'en ressortir...:p

6/ Quel est le drama que tu n'as pas encore vu et qui te tente énormément et pourquoi ?
Le drama dont Lynda a parlé "Dal Ja's Spring" me tente bien, l'histoire est assez classique mais l'avis d'Asiandramas m'a fait sourire et rappelé quelqu'un (que je ne mentionnerai pas...:p) : une fille déjantée qui n'arrête pas de se faire des films...^0^

J'aimerai bien tenter Autumn's Concerto, j'ai lu quelques avis positifs et qui sait, peut-être ce drama me permettra-t-il de renouer avec les TW-dramas...

Sinon il y a Rondo, que j'ai vu à moitié et n'ai toujours pas repris, j'adore les acteurs pourtant et la dernière fois que j'en ai vu un épisode, j'étais décidée à lui mettre 3 étoiles dans mon prochain article. J'ai pourtant les raws, mais me manque les srt (je n'en ai trouvé qu'en paquet de plusieurs épisodes, du coup ce n'est pas du tout synchro par épisode; malin -_-)  ou un bon traducteur franco-japonais :) 
J'ai fini par trouver des épisodes vostfr ici, je m'y remettrai donc sans doute tantôt! :D

Enfin, un drama dont le titre m'a toujours interpellée (il me rappelle la chanson de Michael Bublé <3) "Save The Last Dance For Me" mais dont l'histoire ne me semble pas folichonne (après Stairway To Heaven & cie, les autres scénarios coréens du genre semblent particulièrement fades)

7/ Quel est le drama qui ne te tente absolument pas et pourquoi?
Je serai tentée de dire Hana Yori Dango, j'ai déjà essayé les premières minutes, ça ne m'a pas du tout accrochée et ne suis pas prête de le reprendre de sitôt.

Sinon, je dirai les lakorns! Lynda m'en a certainement dégoûtée à tout jamais ^^  Le viol qui passe pour du romantisme...je n'adopte pas du tout! Dans certains k-dramas, certains passages présentent des chamailleries un peu "forcées" mais avec d'"honnêtes" intentions (Hyun Bin semble d'ailleurs un spécialiste du genre, Secret Garden ou My Name is Kim Sam Soon, on voit qu'il connaît la musique xD) ça passe au second degré, vu qu'ils sont assez "gamins"; mais là, divergences de cultures ou pas, il y a certaines choses qui ne passeront jamais.

8/ Quels sont tes acteurs(-trices) de dramas préféré(e)s ? (+ liens dramas & films)
En dramas japonais, il s'agit plus de "couples" que j'ai apprécié, je ne me suis pas encore penchée sur la filmographie de ces acteurs séparément (ah si Hideaki Takizawa ! - cf Strawberry On The Shortcake (SOS), Majo No Jouken, Orthros No Inu, Taiyou No Kisetsu, Boku Dake No Madonna... hé, c'est que j'en ai vu pas mal du p'tit Tackey!) : 
- Takashi Sorimachi et Matsushima Nanako (GTO), 
- Choi Ji Woo et  Takenouchi Yukata (Rondo), 
- Yamada Takayuki et Hayase Aruka (Byakuyakou, Sekai No Chuushin De Ai Wo Sakebu, Taiyou No Uta)
Tous ces acteurs japonais que je viens de mentionner sont pour moi des valeurs sûres et je m'attarde sur les dramas dans lesquels ils apparaissent...

Sinon, niveau acteurs/actrices coréen(ne)s, là il y a de quoi faire son petit marché ^^ :

=> Ha Ji Won (Damo, Secret Garden), Son Ye Jin (A Moment To Remember, Summer Scent, April Snow, The Art of Seduction, Alone In Love), Choi Ji Woo (déjà mentionnée parmi les couples "japonais" mais elle est coréenne à l'origine- Stairway To Heaven, Winter Sonata)

Entre dans mes favoris masculins Yoon Sang Hyun, je l'ai autant adoré dans My Fair Lady que dans Secret Garden =)
En sort Song Seung Heon (mais reste dans le top "bôgosses" ;p), je n'ai toujours pas continué East Of Eden (70 épisodes de plus d'une heure, ça fait lourd), son nouveau drama (My Princess) ne m'accroche  pas du tout, faute à l'actrice dont la tête m'a traumatisée dans Stairway To Heaven xD

Un acteur hongkongais que j'aime beaucoup, je suis sa filmographie de près: Tony Leung Chiu Wai (à ne pas confondre avec le Tony Leung de l'adaptation de L'Amant de Marguerite Duras par Jean Jacques Annaud) : Nos Années Sauvages, Chungking Express, Happy Together, In The Mood For Love, Les Cendres du Temps, 2046, Lust Caution,  Les Trois Royaumes...

Enfin, je ne veux pas oublier de mentionner trois acteurs indiens que j'ai découvert il n'y a pas si longtemps et qui m'ont fait forte impression <3 Aamir Khan, Shahrukh Khan et Kajol Mukherjee dans plusieurs films très différents : My Name is Khan (au cinéma l'été dernier), Fanaa (diffusé sur Arte), Dilwale Dulhania Le Jayenge (très très connu en Inde, est resté dix ans à l'affiche au cinéma), Devdas (un "classique"), Kuch Kuch Hota Hai, Veer-Zaara...


9/ Quel reste ton meilleur "souvenir drama" ?
J'ai beaucoup apprécié mes "débuts" dans le monde des dramas, avec Hanazakari No Kimitachi e, Devil Beside You, Full House...
J'ai beaucoup aimé "l'expérience Damo" à la TV, étant donné que je m'étais offerte le coffret =)




Mais puisqu'il ne faut en retenir qu'un, je dirais Hong Gil Dong que j'ai suivi durant les vacances d'été, alors que je passais mon permis :) Je passais beaucoup d'heures à l'auto-école pour avoir le Code rapidement et enchaîner la conduite et je savourais la suite du drama en rentrant, telle une bonne récompense... ^^

J'ai également un "mauvais souvenir drama", bien que celui-ci ne m'ait pas entièrement déplu: lorsque j'ai regardé 90 Days Time For Love, j'étais malade comme un chien et devait me lever tous les quarts d'heure..xD

10/ Enfin, que dirais-tu à une personne qui ne regarde pas de dramas pour la convaincre d'en regarder ?
Bien sûr, il y a les arguments rationnels traditionnels : une seule saison (sauf exceptions) avec une fin en général au bout de 16-20 épisodes ; une culture étrangère tout à fait fascinante, des genres très variés (mélodramatiques et comiques bien sûr pour beaucoup mais aussi des historiques, policiers, thrillers, horreur, dramas d'école...etc) Il y a des dramas japonais, chinois, coréens, taïwanais, thaïlandais...chacun avec ses particularités et sa culture propres. Il y a toujours de quoi en dénicher au moins un qui nous plaise.
Ensuite, s'il s'agit d'"ethnocentristes" occidentaux, il paraît difficile de les rallier à notre cause.

Concernant les dramas coréens, appréciés ou décriés c'est selon, il y a ce commentaire du blog francecorée sur lequel je suis tombée un jour et qui résume bien ce que je pense parfois: 

"Les mélos coréens peuvent faire sourire pour les non initiés ou ceux qui voient cela d’un peu loin. Ces films héritent beaucoup de la production importante de dramas en Corée, que d’aucun qualifieraient de sirupeux. Cependant, quel délice que de se plonger dans ces films qui magnifient à tel point les sentiments. C’est parfois un bon remède au cynisme ambiant et à la mauvaise humeur. Sans doute loin des films d’auteurs aux dimensions psychologisantes et des envolées militantes d’autres films (que je ne dénigre absolument pas au contraire), il n’empêche que, pour moi, ces films ont tout autant leur place. Ne serait-ce que pour nous rappeler parfois l’essentiel de notre existence, et l’importance d’exprimer ce qui nous anime et qui fait de nous des Hommes : nos sentiments."

Voilà ce que je déplore actuellement, on nous demande de choisir entre le réalisme (naturellement indispensable) et le romanesque. De caractère, j'ai abandonné à la fin du collège ce côté naïf et "fleur bleue" souvent moqué et ai adopté une attitude "plus sérieuse"... En fin de compte, j'adore le cinéma d'auteur, les artistes engagés mais la triste réalité du monde m'a vite submergée (mais ne m'a pas encore engloutie ;) ). 
Il y a une phrase prononcée par Vincent Lindon dans l'Etudiante qui m'a interpellée: faut-il être engagé pour être considéré comme un artiste? Faut-il avoir des idées arrêtées sur tout et tout le monde? Certes, beaucoup d'auteurs célèbres étaient engagés à commencer par Victor Hugo. Cela veut-il dire pour autant que les autres n'ont pas de valeur?
Pour recentrer sur le sujet des dramas, ceux-ci ne sont pas à entrer dans une catégorie : il existe des dramas engagés (Zeni Geba par ex) comme des dramas beaucoup plus légers.  Le but de ce propos beaucoup trop long est d'inciter à ne pas méconnaître l'un comme l'autre: un monde (et encore plus une vie) sans fantaisie, ni légèreté, quelle horreur...




Et maintenant je taggue...ou pas?
Je crois que le questionnaire a fait le tour de la blogosphère, sinon je pensais à Kawaiigarden, il ne me semble pas avoir vu le questionnaire sur son site ^^ mais rien ne l'y force, bien sûr ;)

mercredi 27 avril 2011

She - Secret Garden MV Fanmade


She - Secret Garden MV Fanmade from Maryelen on Vimeo.

Clip maison sur l'air de la chanson She - Elvis Costello que l'on entend une fois au cours du drama (épisode 14)
J'ai vraiment apprécié le couple Hyun Bin / Ha Ji Won ; après avoir revu Hyun Bin dans My Name is Kim Sam Soon et The Snow Queen, il s'agit définitivement du drama dans lequel je le préfère; son personnage était peut-être mieux écrit, allez savoir :p


She
May be the face I can't forget
The trace of pleasure or regret
May be my treasure or the price I have to pay
She
May be the song that summer sings
May be the chill that autumn brings
May be a hundred different things
Within the measure of a day

She
May be the beauty or the beast
May be the famine or the feast
May turn each day into a heaven or a hell
She may be the mirror of my dreams
The smile reflected in a stream
She may not be what she may seem
Inside her shell

She
Who always seems so happy in a crowd
Whose eyes can be so private and so proud
No one's allowed to see them when they cry
She
May be the love that cannot hope to last
May come to me from shadows of the past
That I'll remember till the day I die

She
May be the reason I survive
The why and wherefore I'm alive
The one I'll care for through the rough in ready years
Me
I'll take her laughter and her tears
And make them all my souvenirs
For where she goes I've got to be
The meaning of my life is

She
She, oh she

lundi 25 avril 2011

시크릿 가든 aka Secret Garden

Alàlà, les k-dramas! J'avais presque oublié combien il était délicieux d'en visionner de nouveaux, surtout lorsqu'ils sont bons ! :p 
Merci Vincent pour le conseil ;)

Cela fait des siècles que je n'ai plus commenté de dramas et j'ai vraiment l'impression d'avoir perdu la main...
Par où commencer? Là se trouve toujours le dilemme. Je vais donc diviser mon "étude" en deux parties, deux sous-parties, deux sous-sous parties....no no I'm just kidding !

Je vais tenter de conserver ma première impression, à savoir globalement, j'ai énormément apprécié ce drama !

"Comédie pimentée et charmante"...(cf myteleisrich) : <3 +++


Drama coréen de 2010 avec Ha Ji Won (Damo), Hyun Bin (The Snow Queen, My Name is Kim Sam Soon...), Yoon Sang Hyun (My Fair Lady, Exhibition of Fireworks...), Yoon Gi Won (Capital Scandal...), Kim Ji Sook (Stairway To Heaven...)







Scénario et présentation succincte des personnages
L'histoire telle qu'elle est racontée sur de nombreux blogs (qui ne font certainement qu'un copier-coller puisque tous parlent de chocolats magiques! xD => il s'agit bien de boissons, du vin "médicinal" en l'occurence) est erronée. Il ne s'agit pas tant d'une histoire surnaturelle que de l'histoire d'un riche gars au caractère épouvantable qui s'éprend (de façon totalement irrationnelle certes et un peu irréelle aussi :p) d'une "roturière" qui tourne des films en tant que doublure pour les scènes de cascades. S'il s'attend à la voir tomber dans ses bras... c'est raté !

Finalement, l'histoire ressemble à nombre de k-dramas du genre sauf que... l'histoire semble se jouer de ses personnages: Gil Ra Im qui a tout d'un garçon manqué cache derrière son apparence douceur et fragilité. Joo Woon est un garçon cynique et complètement centré sur lui-même, sauf qu'il n'arrive plus à vivre sans voir une réplique de la fille qu'il a rencontré se promener à côté de lui. Il peut se croire possédé ou envoûté, toujours est-il qu'il est complètement obsédé par elle. 

Ce sont ces deux côtés exagérés à l'extrême qui font la base et le piquant du drama et rendent les premiers épisodes très agréables à suivre. L' évènement surnaturel n'intervient que plus tard, et pourtant le téléspectateur n'y pense pas une seconde, il se laisse juste porter par le scénario.

A côté de ces deux personnages, on suit les pérégrinations d'Oscar,  un chanteur sur le déclin, incarné par l'inoubliable Yoon Sang Hyun (My Fair Lady). Son évolution est très plaisante à suivre, de l'"has been" à la grosse tête jusqu'à la "révélation" et finalement à la "renaissance" de l'artiste. On immerge  facilement dans le monde de la musique côté coulisses, pas vraiment façon "Sad Love Story", mais au travers d'accusations de plagiat et de scandales amoureux. Pas évident pour une star comme lui de mettre son ego de côté...:p


Un quatrième personnage vient fermer le petit cercle: la "rivale" de Gil Ra Im ou plutôt l'ex scandale d'Oscar... Ce qui est intéressant dans ce drama est l'absence de rivaux à proprement parler. Vous savez, ceux du genre à mettre des bâtons dans les roues des héros, du genre tenaces (cf Sad Love Story, STH, DGCH...). Ceux-ci ont déjà fort à faire avec leur moitié et leurs problèmes respectifs...! On échappe donc aux crêpages de chignon à n'en plus finir...ouf!

Autour de ces deux couples centraux gravitent des "personnages secondaires" plus ou moins énervants:
- la coloc' de Ra Im et le secrétaire Kim <3
- la mère de Joo Won, délicieusement détestable du début à la fin... mais le fait est que son personnage reste constant: pas de réconciliation miraculeuse, elle m'est apparue vers la fin...plus humaine, fragile et en même temps pathétique. On n'arrive plus à la détester vraiment.
- le directeur Park : je m'attendais à des "magouilles" politiques pour évincer le "jeune" PDG mais finalement, le drama n'a pas tenu à tomber dans cet engrenage destructeur (autant pour les héros que pour la série)
- la mère de Chon Woo Young (Oscar, de son nom de scène) : elle semblait vouloir assurer l'avenir de son fils, mais on se rend compte à la fin que le directeur Park n'accepte pas de coopérer. Il a retourné sa veste (dans le bon sens), si je puis dire...

Il est dommage que le côté surnaturel du drama avec l'échange des corps n'ait pas davantage été explicité. Le tout est pourtant bien réalisé et cela donne lieu à nombre de scènes cocasses mais j'ai l'impression qu'on aurait pu faire mieux à partir de là. Mais cela reste un drama coréen "hors norme" d'après ce que j'ai pu voir jusqu'à présent, c'est très plaisant à suivre. Nombre de "conseillers conjugaux" parlent d'empathie, de "se mettre dans la peau du conjoint" pour mieux se comprendre; ma foi ces deux-ci l'ont expérimenté de façon très réaliste ! Si les deux personnages conservent toujours leur même façon de penser, il n'empêche que le "switch" leur permet de se confronter à l'univers de l'autre et d'en appréhender aussi les difficultés.


Le jeu des acteurs
Concernant les acteurs, j'ai été ravie de revoir les 3 acteurs principaux à savoir Hyun Bin, Ha Ji Won et Yoon Sang Hyun. Je dois avouer que j'ai d'abord regardé le drama pour Yoon Sang Hyun que je me félicitais de retrouver après My Fair Lady ! Je n'ai reconnu l'acteur de Snow Queen qu'à son regard en fait (mm difficile d'oublier ^^).

Il est plaisant de retrouver Hyun Bin et Ha Ji Won dans le registre comique, je ne les avais encore jamais vu sous ce jour, et ils y excellent! Nul doute qu'ils forment la paire; sans Joo Won, le drama serait tout de même bien fade! 



Bref, en dépit du mauvais goût évident de son personnage ("stylistiquement Full Housien" !) et de sa perte de poids, Hyun Bin réussit à nous faire rire, à nous faire frissonner, et au final à tirer sur la corde sensible (ce dont je ne doutais plus après The Snow Queen xD). Pari réussi ! :)



Impression d'ensemble
L'OST et le style romantique contraste avec les caractères des personnages et cela a son charme, notamment les fréquentes "apparitions" de Kim Joo Won. Lui qui rationalise toujours,  faire de lui un amoureux transi est une trouvaille du scénario =D Il est l'exemple type du parfait goujat avec les femmes, et il ne l'a jamais autant été qu'avec Gil Ra Im. Dans Devil Beside You, le héros s'amuse avec la donzelle pour la conquérir. Ici, le héros dit vouloir faire une sorte d'étude sociologique ou c'est tout comme: attendre que son attirance première cède la place à l'ennui. Le "Joo Won de 21 ans" quant à lui veut "l'étudier" pour découvrir ce qui l'a poussé à tomber amoureux d'elle à 34 ans.
Mais au final, on se demande s'il ne cherche pas tout simplement à la conquérir; lui pour qui les femmes se pressent toujours au portillon. 
Derrière son "goujanisme" (on pourrait presque en faire une maladie!) et son manque de tact caractéristique,  il apparaît par moment sincère et vrai. La vérité peut blesser mais après tout, il ne lui cache pas ses intentions. 
Le deuxième trait caractéristique que j'ai retenu est l'âge des protagonistes: mis à part le fait que les acteurs font davantage la vingtaine (surtout pour le dernier épisode xD), les personnages trentenaires sont plus consistants dans la mesure où ils ont du vécu derrière eux. Chacun traîne derrière lui ses préjugés, son univers, et il apparaît plus difficile que de coutume pour eux de se défaire de leurs mentalités. D'ailleurs, même après le 1er échange de corps, lorsque chacun a retrouvé son corps originel, il ne leur est pas facile de "changer". Le 1er switch n'a pas fait de miracle et il y a toujours une grande part d'incompréhension entre eux. C'est à se demander comment cela aurait tourné s'ils n'avaient jamais pu vivre l'expérience d'être l'autre.



S'il y a une baisse de régime vers le milieu du drama, je ne me suis pas véritablement ennuyée et j'ai ainsi suivi leurs pérégrinations avec un intérêt certain. Le couple d'acteurs fait des merveilles, le secrétaire Kim est un de mes personnages secondaires favoris et Yoon Sang Hyun apparaît ici sous un nouveau jour.

Chaque personnage principal semble avoir déjoué nos préjugés du début en cours de drama:

- Seun est un des premiers personnages à apparaître à l'écran et semble opportuniste et prête à tout pour séduire le PDG de LOEL => elle se révèle cacher une grande sensibilité et finalement s'avèrera d'une aide précieuse pour l'héroïne

- Oscar apparaît comme une star capricieuse et littéralement impossible => Il se remet en question grâce au "petit jeunot" ainsi qu'avec le retour de son ancien amour.

- Gil Ra Im est une fille forte, solitaire, qui exerce un métier d'homme. C'est un garçon manqué => Elle se révèle être tout de même une fille fragile et sujette aux explosions lacrymales ! (même si cela reste raisonnable comparé à la "norme", nous sommes dans un k-drama je le rappelle :p)

- Kim Joo Won est l'"héritier" d'une grande société, né avec une cuillère dans la bouche. Il se croit tout permis ou presque. Il n'est jamais responsable, ce sont les autres qui le sont. Il ne se préoccupe de personne, sinon de lui-même. Il est fana de mode et porte des survêtements "pas ridicules, ce sont juste des grandes marques, ignorants que vous êtes" xD
=> Il devient un amoureux transi qui s'ignore, ce qui est doublement drôle puisqu'il décrit ses symptômes sans les reconnaître. Une bonne chose à son actif: il ne mâche pas ses mots et dit toujours ce qu'il pense...ce qui est aussi un pb chez lui.

J'ai apprécié les voix off au niveau de la réalisation même si c'était parfois un peu perturbant: j'avoue que ça a brouillé les pistes au début, on a tendance à s'interroger sur le pourquoi du narrateur et à anticiper la fin: qui survit? où est le narrateur? Je cherchais la "logique" des voix off lorsque je me suis dit qu'il n'y en avait peut-être pas. Tantôt on entend le père de Ra Im, tantôt Ra Im herself, tantôt Joo Won; parfois leur voix off au présent, compte tenu de leurs pensées au moment précis de l'histoire...bref, ça fait désordre. 
Même si, au bout du compte, il s'avère que c'est une bonne idée: un des points majeurs du drama est en effet la "diahrée verbale" des personnages, leur dialogue sont vifs et savoureux (j'ai repensé à Que Sera Sera d'ailleurs), ça clashe mais tout est dit. Dans les k-dramas, les non-dits et malentendus sont légions, on évite largement cet écueil ici, le drama est sauf ! Bien sûr, il y a des quiproquos mais dans une proportion raisonnable.
Au début de l'épisode 12, le dialogue "visuel" silencieux entre les deux personnages amène un souffle de romantisme (trop crédibles les acteurs, yaaaaan!! <3) que Joo Won balaie dès qu'il ouvre la bouche ("il y a une chambre de libre à côté" xD)
Hyun Bin s'en sort admirablement bien <3, son regard ferait fondre n'importe glacier menaçant le Titanic (oui bon, c'est nul comme blague xD). Tout ça pour dire qu'on en oublie même son tracksuit à paillettes ridicule. C'est dire ! xD Il fait ressortir la force et l'intensité des sentiments comme personne...brrr ^^
En outre, le côté enfantin des deux personnages ("Quel mal y a-t-il? Nous sommes deux adultes" dit-il. ben tiens, lui encore moins qu'elle !) contraste avec leur personnalité première.  Joo Won se rend compte à la fin combien un couple amoureux peut se révéler immature... :p



Parce que c'est dur de s'arrêter en si bon chemin...

1°) Joo Won m'a parfois rappelée Kwon Sang Woo : le personnage prétentieux et plutôt sans gêne de Stairway To Heaven n'est pas si loin de Joo Won. Surtout au niveau du contact qu'il semble apprécier... En outre, "l'embrassade" forcée de Joo Won sur le lit m'a rappelée autant STH que QSS: même intention que Song Joo Oppa mais avec les méthodes de Kang Tae Joo ; dommage ils sont tout mimi mais le moyen d'y "parvenir" donne vraiment une mauvaise image du personnage et de la réalité. Quand on dit non c'est non, et là...c'est de la fiction quoi....

2°) Dans STH ou tout autre k-drama, le mot "oppa" est employé à toutes les sauces, qu'il s'agisse d'un frère ou d'un ami proche (Sad Love Story, Autumn Tale...) et lorsqu'ils se mettent en couple, il ne faut plus le dire. Ici, "oppa" semble avoir une connotation amoureuse plus prononcé puisque Joo Won veut être l'oppa de Rae Im...


3°) Yoon Sang Hyun semble maintenant habitué à porter des sacs de pommes de terre sur son épaule, déjà dans My Fair Lady (ah non c'était Yoon Eun Hye...)

4°) Le rôle de Lee Philip, insignifiant et passif, est déprimant. Mais son rôle donne au moins l'occasion de confrontations avec Joo Won... Mais est-ce un adversaire à sa taille? 
Petite consolation néanmoins grâce à Son Ye Jin dans son propre rôle =)



5°) Le drama se parodie lui-même, avec la fameuse scène du café: le secrétaire Kim tente d'imiter Joo Won, résultat : une bonne douche ^^


6°) A noter que j'ai apprécié également au début l'immersion dans le monde du cinéma, on découvre Gil Ra Im dans un film d'action en justicière, le drama aime jouer entre les différents mondes et créer des mises en abîme : monde réel, virtuel, rêvé, passé...On ne se perd pas pour autant même si cela reste assez récurrent tout au long du drama, jusqu'à l'épisode final où il est fait référence à "Secret Garden" (on air now!), ce qui provoque une déconnexion et un retour au réel, les personnages redevenant de simples acteurs.

A savoir que le concert a vraiment eu lieu avec les artistes de l'OST quelques jours avant la diffusion du dernier épisode. La durée de montage a dû être courte!


7°) Le drama s'amuse à faire référence à des anciens dramas dans lesquels les acteurs principaux ont joué:
- Damo : Ha Ji Won rejoue son rôle lors d'un doublage
- The Snow Queen: qui de mieux placé que Hyun Bin pour en parler? 
- My Fair Lady: le coup du "sac de patate" sur l'épaule de Yoon Sang Hyun

8°) L'OST est décomposée en plusieurs singles, apparemment le marketing a fonctionné du tonnerre..! Sur les 20 épisodes, elle est tout de même répétitive, comme tout k-drama qui se respecte me direz-vous... N'empêche qu'elle est aussi très efficace lors de certaines scènes, j'en citerai deux favorites :

cf épisode 14 : lorsqu'Oscar commence à jouer "She" d'Aznavour au piano, puis s'ensuit la version d'Elvis Costello, la tension est alors à son point culminant ^^ :p




 cf épisode 19 : lorsque les souvenirs de Joo Won reviennent en flot, le bruit de la bobine qui se déroule, c'est assez facile, mais j'ai bien aimé la réalisation de cette scène tout en "flashs" avec en fond la chanson 상처만     durant sa course effrénée... Stylé !



9°) L'épisode final ressemble presque à un épisode "spécial" avec des scènes bonus; il n'y a plus de suspense à attendre de la fin, peut-on dire que cela clôt la série en beauté? Etant donné le rythme et l'intérêt grandissant du début, cela paraît un peu "faible" pour un drama qui promettait quelque chose de différent. En si bon chemin, nous en sommes revenus aux ficelles classiques des k-dramas (sacrifices, larmes, happy end...), en en évitant le pire. Même la "morale" de la fin n'est pas trop lourde. Ce n'est déjà...pas si mal.

10°) Est-il besoin de préciser que l'alchimie entre les deux acteurs marche du feu de dieu? Très convaincant =)

11°) Je reviens d'un weekend à Amsterdam et que de référence aux Pays Bas en ce moment...jusque dans le drama!

NB: à voir en vosta, seuls les 6 premiers épisodes ont été sous-titrés en français pour le moment...

NB 2: je me rends compte ne pas l'avoir mentionné, mais il s'agit d'une romance un peu plus "adulte" que dans d'autres dramas coréens. Pas de "débordement" affectif à la Full House, nos protagonistes ont quand même la trentaine...;)









De bonnes reviews et bonus ;)

http://starones.wordpress.com/2010/11/15/secret-garden-ost/
http://cinedramas.wordpress.com/2011/03/16/secret-garden/
http://www.mediafire.com/?87i4tapswkc30
http://mehanata.net/?p=3295
pour le début de la série, je rejoins tout à fait "myteleisrich" :
http://myteleisrich.hautetfort.com/archive/2010/11/21/k-drama-pilote-secret-garden.html
http://dramas-mangas-sensei.over-blog.com/article-secret-garden-drama-coreen-60651355.html