samedi 31 juillet 2010

Locataires de Kim Ki-Duk


Mon avis: ♥ ♥ ♥ 
Un marginal pacifique (et diplômé) qui squatte les maisons vides quelques jours sans rien y voler et une femme mannequin battue par son mari. Il n'en faut pas plus pour réaliser ce film et ce, de manière intelligente. Ces deux personnages ne s'échangeront pas une parole et pourtant ils sont à eux seuls l'essence du film. Plus encore, IL est l'essence du film. Sa manière de remplir l'espace (je pense notamment à la scène de la prison), de captiver le spectateur, par sa présence, son regard, son magnétisme. Ce pourrait être même repris au théâtre.

J'avais détesté April Snow, pourtant film avec des dialogues. J'ai adoré ce film, je ne me suis pas ennuyée une seule seconde et à la fin, j'attendais encore... On reste captivé par cette histoire atypique, quasi-onirique. Est-il un rêve ou une réalité? Un fantôme ou un homme?
Il ne faut pour autant pas croire que rien ne bouge dans ce film, au contraire, le temps passe et l'action se modifie, il y a un "dénouement" si l'on peut dire.
A l'heure où l'on parle de rêve vs. réalité (cf Inception), ce film pourrait traiter du même sujet, sous un angle totalement différent. Peu de budget peut-être, point de science-fiction, mais il fait tout autant réfléchir.
Si on prend le film au 1er degré, il paraît complètement barge, décalé et même immoral. Il n'en est rien pourtant et il se dégage du court (long) métrage une certaine poésie. (NB: j'ai presque envie de parler de court métrage, tellement le format est...déroutant. Il arrive beaucoup de choses et en même temps si peu.) Cela ne signifie pas que le film ne contient pas de violence intrinsèque mais celle-ci reste très symbolique. Le film use de nombreuses métaphores visuelles, sans jamais vraiment toucher du doigt le réel. Et pourtant, l'effet voulu passe tout autant, même mieux, tranchant dans le vif.

Les acteurs sont formidables, à commencer par Jae Hee, qui a aussi joué dans "Witch Yoo Hee". On se demande comment il a pu jouer dans un tel navet, alors qu'il a ici livré une très belle prestation et porte sur lui tout le film. N'est pas en reste l'actrice principale qui semble en osmose avec le "délinquant". Tout passe par le regard, ou presque.


Un film qu'on n'oublie pas.
Merci Kim Ki-Duk =)

Critiques intéressantes:
http://www.lequotidienducinema.com/critiques/locataires_critique/critique_loctataires.htm
http://films.blog.lemonde.fr/2006/09/13/2006_09_locataires/
http://www.sancho-asia.com/articles/locataires

INCEPTION


Mon avis : ♥ ♥ ( ♥ +++ ?)
Nouveau film de Christopher Nolan dont on ne fait que parler, ainsi tel Avatar, comment passer à côté?
L'histoire en elle-même est bien ficelée (bien que j'ai déjà vu des films sur ce thème, pas vraiment nouveau donc, contrairement à ce qu'on dit), les acteurs sont convaincants, les effets spéciaux bien réalisés, un bon film d'action/science fiction avec une dose de sentiments. Et puis surtout la morale du film, ne pas confondre rêve et réalité! Ce film est peut-être à destination de ces jeunes adolescents toute la journée dans leurs jeux vidéos!
Bref, ce film est à voir une fois peut-être deux, ensuite vous l'aurez compris, je n'en suis pas une fan de la première heure. Pareil pour Avatar, qui, s'il innovait côté effets 3D et grosse artillerie informatique, ne m'avait pas non plus emballée des masses, la faute à un scénario trop bateau et à un thème vieux de 20 ans- non pardon 30 ans on est en 2010... (allez donc voir côté Miyazaki...!)





Bizarrement, j'ai trouvé Marion Cotillard plus juste dans ce rôle avec Leonardo DiCaprio que dans le film Public Enemies avec Johnny Depp. Je l'ai toujours préféré dans des rôles d'originale excentrique alors...la folie n'en est pas loin :p Mais plus encore, Ellen Page s'en sort très honorablement. J'ai également (re)découvert Joseph Gordon Levitt, j'espère qu'on le verra plus souvent à l'avenir.

mercredi 28 juillet 2010

DEXTER

Focus sur une série que j'ai "découverte" par le bouche-à-oreille, et je ne regrette pas de l'avoir entamée. Il s'agit d'une série au sujet atypique, le personnage principal étant au départ l'anti-héros par excellence -un serial killer qui agit selon un "code" et ne tue que les méchants (en gros) dans le seul but d'assouvir ses pulsions meurtrières. Ainsi, on ne nous le présente pas vraiment d'emblée comme un justicier à porter aux nues mais au contraire, comme une personne pas vraiment humaine qui s'astreint à vivre "normalement" et ne tue les méchants que parce qu'il en a besoin. En bref, ça ne semble être qu'un pis-aller. (le jour, il est médecin légiste pour la police de Miami)




Cependant, au fil des épisodes et des saisons, il évolue de manière incroyablement crédible et sa carapace d'acier semble à certains moments laisser entrapercevoir un homme bon et juste, l'ami ou le frère idéal, pas trop envahisseur justement. Ces moments sont rares à ses débuts mais se font de plus en plus présents par la suite. Il commence presque à devenir humain et à consacrer davantage de temps aux autres. Même s'il continue d'affirmer qu'il s'agit d'un simulacre, d'une "comédie humaine" pour paraître "comme les autres", il lui arrive d'éprouver des sentiments à l'égard des personnes qu'il côtoie, et ce à son propre insu.

Cette série ne serait pas ce qu'elle est sans son format, soit le "journal" d'un serial killer, puisqu'il est lui-même le narrateur de l'histoire, et c'est son point de vue qui rend aussi l'histoire captivante et amusante (si je puis dire!). Mais ce n'est pas ennuyeux et plat, car en effet de judicieux flashbacks (les souvenirs de Dexter) sont placés à petite ou forte dose dans les épisodes (ou alors des "visions de son père encore vivant le conseillant, sa conscience en quelque sorte) , explicitant et doublant notre intérêt pour le passé de ce mystérieux personnage. De nombreuses questions se bousculent dans la tête du spectateur et la série répond à nos attentes, graduellement, progressivement. Les intrigues s'entremêlent et les personnages sont renouvelés pour le plus grand plaisir du téléspectateur. Aucun temps mort, du suspense, de l'action et des tranches de vie. Tout le tableau au complet.


Les autres personnages sont eux aussi épatants, à commencer par la soeur adoptive de Dexter, l'anti-héroïne par excellence aussi, délicieusement vulgaire et politiquement incorrecte (ne crachez pas sur la version originale, délectable!). Son évolution est elle aussi importante, lorsque l'on repense à ses maigres débuts, toutes ses expériences semblent la rendre plus forte au bout du compte.
Je ne parle pas des autres personnages de la "team", il va sans dire que des intrigues annexes gravitent autour de Dexter et contribuent à rendre ces "joyeux lurons" (! :p) attachants.


La saison 1 est certainement la plus "sanglante", j'avoue avoir eu une overdose après une séance TV un peu trop longue, mais on tient tellement à connaître le fin mot de l'histoire, en un mot j'étais scotchée.
La saison 3 quant à elle, est pour l'instant celle qui m'a le moins captivée, les derniers épisodes étaient plus prometteurs.
La saison 4, si elle paraît peu captivante au début (Dexter père de famille, dépassé par les évènements, ..etc), parvient à renouveler la série et reste la saison la plus angoissante jusqu'à présent. J'avoue que le serial killer me faisait bien plus peur par son apparente normalité et il est intéressant de voir comment Dexter va évoluer suite à tous ces chamboulements: peut-il vraiment être un père de famille et rester inoffensif pour les siens? Ou finira-t-il par les blesser mortellement ou pire, les effrayer?
Chaque saison (la une et la 2) semblaient mettre un point final, les saisons 3 et 4 quant à elles, laissent le suspense entier, et on attend la suite avec impatience.


La 2ème saison est celle que j'ai nettement préférée, un dosage plus subtil dans le "gore" (lol), et un suspense haletant, Dexter toujours seul contre tous. Il a tendance à s'"humaniser" dans les saisons suivantes, du moins on perçoit l'évolution de son caractère, les concessions qu'il fait...etc. De plus, j'avoue que j'aimais bien James Doakes qui, contrairement à tout le monde, était le seul à se méfier de Dexter et à le trouver étrange. Leur rivalité pimentait vraiment la série, dommage pour lui qu'il ne soit pas resté.
L'intrigue de l'ami qui partage tout a été exploitée à fond dans la saison 3 avec Miguel Prado; intrigue un peu tombée à plat selon moi, c'est vraiment en toute fin de saison que cela devient intéressant.

Dans la saison 4, Dexter semble s'être trouvé un nouveau mentor, un nouveau "guide", mais c'est comme toujours tout seul qu'il trouvera la voie à suivre. L'évolution "dextérienne" est bien pensée et somme toute crédible. Les scénaristes explorent bien les diverses facettes du personnage et ses potentialités.
Le cliffhanger à la fin de la saison 4 est énorme, j'avoue que je ne m'y attendais pas. Mais bien sûr, sans cela, ça aurait été un "happy end" trop facile...Dexter était même prêt à renoncer à suivre son "dark passenger"! Apparemment, l'épreuve nouvelle que les scénaristes vont faire expérimenter à Dexter dans la saison 5 (et probablement dernière saison) est la culpabilité, sentiment qu'il n'a jamais ressenti jusqu'alors.

Un mot sur l'acteur principal, Michael C. Hall, déjà connu pour son rôle dans "Six Feet Under" par Alan Ball (actuel scénariste de True Blood - le monde est petit!), parfait dans ce rôle de serial killer un peu psycho sur les bords. Il rend son personnage attachant, un comble! Jennifer Carpenter (sa femme actuelle) joue le rôle de sa soeur adoptive, tandis que Julie Benz incarne à l'écran sa petite amie.


Tous les acteurs sont formidables et contribuent à faire de cette série une des plus en vogue du moment.
Mention spéciale au générique, le même depuis la saison 1 mais tellement original avec une musique diablement entêtante !

Attendons fin septembre pour connaître le dénouement de cette série, j'espère qu'il sera à la hauteur de nos espérances....

Jusqu'à présent donc :): ♥ ♥ ♥ +++
Pour plus d'informations techniques, allez voir Wikipédia!

samedi 10 juillet 2010

Kamisama Mou Sukoshi Dake




Kamisama Mou Sukoshi Dake, a.k.a. Dieu, Accorde-Moi Un Peu Plus de Temps, a.k.a. Precious Time, 1998, J-drama de 12 épisodes d'environ 45 minutes chacun. (le 1er et le dernier avoisinent les 60 minutes)


Le début (tiré du blog de Lynda):
Masaki est une lycéenne un peu paumée, elle sort avec un garçon qu'elle n'aime pas vraiment, l'entente avec sa famille n'est pas au beau fixe et ses copines se prostituent pour s'acheter des fringues de marque.
Son seul refuge est la musique notamment celle de son compositeur favori, Keigo.
Ravie de pouvoir assister à son concert, elle perd malheureusement son précieux billet, une seule solution lui vient en tête pour en racheter un, accepter un rendez-vous avec un client ! Cette fois-ci, elle va plus loin et couche avec l'homme en question.
Le lendemain, à la fin du concert, Masaki repère le véhicule de Keigo et se lance à sa poursuite comme une fan acharnée.
Indifférent à la jeune fille, Keigo fait mine de l'ignorer pour finalement l'inviter chez lui.
Ils finissent par passer la nuit ensemble, Masaki semble pour la première fois ressentir un certain émoi mais ne donne pas suite et laisse Keigo partir en tournée.
3 mois plus tard, ils décident de se revoir mais Masaki apprend qu'elle est séropositive.


Mon avis: ♥ ♥
Voilà un drama que je ne pensais jamais voir, il restait dans mon escarcelle depuis un bon bout de temps cependant. Histoire de faire de la place, je l'ai rapidement visionné.

Je ne m'attendais pas vraiment à un drama de ce genre, que je qualifierai au final de "classique". D'un, à la lecture du résumé, l'histoire paraît assez glauque et le début (disons la première moitié du drama) m'a paru assez "dur". Vers la fin, je me disais "mon dieu, mais qu'ils arrêtent de pleurer dans ce drama!" L'histoire n'est pas vraiment réjouissante mais je ne m'attendais pas à cela. Du fait de l'histoire, je pensais sortir d'un "drama maladie" ordinaire et le début me donnait raison. A tort.
On retrouve les ressorts dramatiques classiques de ce genre de drama dans la deuxième partie, et j'avais même envie de dire que c'était drôlement romancé: La fille qui se la joue "copine" avec son bourreau, le speech miracle "adieu persécutions" (il n'y a que des crasses à un certain moment et après plus rien), survivre à une pneumonie et une méningite (dans son état!) et tirer finalement sa révérence en beauté. En rajoutant à cela une histoire d'amour impossible (mais pas pour les héros) entre une lycéenne et son idole. C'est romantique, c'est beau, c'est touchant, ça fait vibrer les cœurs mais bon...
Le couple aussi était tout "choupinet" si je puis dire mais à certains moments, je ne sais pas...leur crédibilité en prenait un coup. Ensuite, on pourra dire que cette histoire ainsi faite est "moralisatrice", qu'en fin de compte, les personnages ont été "récompensés" et que Dieu, dans son ultime bonté, leur a donné un enfant en bonne santé. Comme le disaient les médecins, il y a eu des miracles dans cette histoire, il faut dire que les scénaristes ont tout pouvoir là-dessus...

Que dire sinon que je suis passée par beaucoup d'émotions différentes, les autres personnages secondaires ne font pas de la simple figuration et leur sort nous touche autant -sinon plus- à commencer par les parents de Masaki ou son ex petit copain.

Ce drama m'a surtout frappée dans les premiers épisodes, la dérive des adolescents, cette "génération perdue" qui ne sait pas quoi faire de son temps. Les parents étaient complètement dépassés par leurs enfants mais grave! (lol) Personnellement, mon adolescence date des années 2000 mais au grand jamais on ne m'aurait laissée agir de la sorte! Le manque d'autorité (ou l'excès d'autorité) sont toujours aberrants pour moi dans les j-dramas. On a l'impression que les parents ne savent pas "faire la transition" entre l'ancien système hiérarchique basé sur l'autorité et le respect des aînés et la société actuelle. J'ai l'impression que nous sommes un peu mieux loti en Europe pour le coup en matière d'éducation, mais peut-être suis-je ignorante et n'est-ce qu'une impression.
Ce drama m'a donné également l'impression que la prostitution des lycéennes japonaises est assez "courante" pour se faire de l'argent (en ont-elles toutes tellement besoin?) et pas du tout cachée. Dans la rue, n'importe qui les aborde pour les faire travailler comme escorts-girls; peut-être n'étaient-ils que dans des quartiers "malfamés" comme on dit, mais bon, ça m'a un peu "choquée". Peut-être tout simplement parce que je ne suis pas une fille de la capitale?

Deuxième "fait de société" caractéristique du Japon, que l'on retrouve généralement dans les school dramas : les persécutions au lycée. Ce qui m'a choqué dans ce cas est l'indifférence des filles responsables de ces harcèlements. Tout le monde fait vraiment "comme si de rien n'était". Je connaissais bien sûr le phénomène d'exclusion des "éléments indésirables " au Japon, pays dans lequel le groupe est sur-valorisé au détriment de l'individu, mais ça m'a tout de même révoltée. Le culte de la conformité et du groupe engendre d'horribles dérives, lorsqu'il s'agit de se conformer aux normes de la mode (et par là se prostituer pour pouvoir rester à la hauteur et se payer le dernier Chanel) et de se "fondre dans la masse". Horrible.

Enfin, dernière chose "injuste" qui m'ait choquée: la réaction hypocrite des lycéennes vis à vis d'elles. On les voyait bien toutes se remettre du rouge et parler de leurs relations avec des hommes plus âgés pour se faire du pognon et lorsque le sort s'abat sur l'une d'elle (qui plus est ne l'a fait qu'une seule fois), aucune solidarité féminine! Comportement hypocrite et lâche pour ma part, ou alors j'ai mal compris l'histoire.
Masaki a certes très mal agi, mais comme on dit "que celui qui n'a jamais pêché lui jette la première pierre" et cela aurait pu arriver à n'importe qui des autres filles.
Comme l'avait fait remarquer Lynda dans son article, aucune mise en garde au sujet de la transmission des MST (ou de la prostitution tout simplement) n'est faite par l'héroïne, ni aucune autre personne. A croire qu'ils ne connaissaient vraiment pas le condom à l'époque. On se contente juste de regards et hochements de tête désapprobateurs, un comble! xD Breeef. A notre époque, sa situation semble incroyable, on ne parle jamais de prévention, le drama date de 1998 mais tout de même....! Friends a commencé en 1994 et ils étaient "à fond dedans" si je puis m'exprimer ainsi!


Je crois m'être bien défoulée avec mes "mini-révoltes" tout au long du drama, lequel ne m'a définitivement pas laissée indifférente! Je n'ai pas grand chose à dire sur les acteurs, sinon que j'ai suivi tout d'abord grâce à l'article de Lynda ET à Takeshi Kaneshiro <3, que je connais depuis le film Perhaps Love. J'avais des doutes au début étant donné qu'il s'agit d'un j-drama et que c'est un film hongkongais, mais il semble qu'il parle plusieurs langues et soit doté d'une double nationalité. J'avoue lui avoir trouvé au début du drama une sacré allure, ce rôle hautain et indifférent lui allait comme un gant, je le trouve moins bon lorsqu'il s'agit d'exprimer ses sentiments ou de jouer le nigaud (cf le film). Je suis ravie donc de l'avoir "testé" plus en détail à travers ces 12 épisodes :) ça valait aussi le coup d'oeil à certains moments ;)

Concernant l'"héroïne", je l'ai comparée à plusieurs reprises au cours du drama à Song Hye Kyo dans Autumn Tale, elles ont un air de ressemblance dans ces dramas, l'une avait-elle copié la chirurgie esthétique de l'autre? A 15 ans tout de même! Elle me rappelait aussi (ses yeux et son sourire) à la fausse sœur de Tackey dans Strawberry On the Shortcake (vous vous rappelez? Le drama faisant l'apologie d'Abba? Nan j'exagère mais bon...) et il s'avère...que c'est bien elle! (Fukada Kyoko, en "beaucoup changée") Décidément, ce drama m'aura beaucoup marquée...!

Non contente de tout cela, j'ai eu aussi mon quart d'heure de sanglots (!) vers le milieu du drama et au générique de fin, la faute à l'OST ultra-répétitive dans la deuxième partie du drama, de ce fait inefficace, et le côté sirupeux et "longuet" de certains passages; seule la première moitié m'a le plus touchée. Heureusement que le drama ne comportait que 12 épisodes, je l'ai encaissé dans son intégralité en une nuit !



Un autre avis sur la Toile, dont le dernier paragraphe résume parfaitement mon état d'esprit à la fin de ce drama : http://www.luminophore.net/2009/02/11/kamisama-mou-sukoshi-dake-serie-complete/
DDL Newsasia ICI

A noter que l'acteur incarnant le père de Masaki a également joué dans Byakuyakou et Rondo. Je me disais avoir déjà vu sa tête quelque part...pas en bien, malheureusement!